7 faits étonnants sur le corps d'une femme.

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Depuis 1975, des études toujours plus nombreuses confirment l'efficacité d’interventions cliniquement éprouvées pour amener les fumeurs de tous types à renoncer à long terme, sinon définitivement, à l’usage du tabac.1,2 Parvenir à l'abstinence est particulièrement important pour les fumeuses enceintes et les parents fumeurs, car le tabagisme constitue une menace pour leur propre santé, l’issue des grossesses et la santé de leur progéniture. Les fumeurs sont souvent peu enclins à parler de leur tabagisme aux intervenants du milieu de la santé et à être identifiés comme fumeurs.4 La pression sociale pour que les femmes enceintes s’abstiennent de fumer pendant la grossesse est telle qu’elles peuvent être moins disposées à avouer qu'elles fument et donc être souvent classées incorrectement comme non-fumeuses. Cependant, les interventions conçues pour les fumeurs en général peuvent également servir pour les parents fumeurs et, avec quelques modifications, pour les femmes enceintes. L’arrêt du tabagisme, la prévention de l’exposition à la fumée secondaire et la prévention de la rechute sont des stratégies d’intervention clinique clés pendant la grossesse et la petite enfance.3 Compte tenu des méfaits importants associés à l'exposition à la fumée de tabac secondaire (FTS), il importe d'intervenir tant auprès des parents qu'auprès des personnes s’occupant de jeunes enfants pour qu'ils arrêtent de fumer.

’arrêt et le traitement du tabagisme, afin de réduire l’exposition des enfants à la FTS. Un intervenant (par ex., un assistant médical) peut s’enquérir du statut tabagique; puis un autre clinicien (médecin, dentiste, infirmière) peut offrir des conseils personnalisés sur l’arrêt du tabagisme, évaluer la volonté du patient de cesser de fumer et lui prescrire une médication; finalement, une ressource d’intervention (par ex. une ligne d’aide au renoncement tabagique, un autre intervenant) qui offre un service additionnel peut être recommandée au patient. Une étude américaine publiée en février 2015 dans la revue Jama Internal Medicine a montré que la durée des bouffées de chaleur pouvaient atteindre 7 ans et demi après les dernières règles chez les femmes concernées régulièrement (au moins 6 diflucan génériques bon marché jours sur deux semaines). Suite à cette prise en charge, 75 à 80 % des patientes avaient suivi une hormonothérapie sur une durée minimale de 5 ans. Aux Pays-Bas, seules 12% des femmes âgées de 45 à 74 ans suivaient un THS en 1999. Cette proportion a très peu évolué depuis 1990, où elle était de 10%. Le THS est en moyenne mis en place vers 48 ans pour une durée moyenne de 6 mois.

Actuellement, les recommandations préconisent une hormonothérapie entre 5 et 10 ans après le diagnostic du cancer du sein. La qualité de vie des patients a été évaluée par deux outils de mesure, l’un spécifique du cancer du sein et l’autre commun à tous les cancers. Si la chimiothérapie impacte fortement et négativement la qualité de vie à court terme, ses conséquences sont fortement amoindries deux ans après le diagnostic. A l’inverse, les conséquences de l’hormonothérapie perdurent plusieurs années après le diagnostic. Ces résultats montrent pour la première fois, que contrairement aux idées reçues, l’hormonothérapie n’a pas systématiquement un impact moindre sur la qualité de vie que la chimiothérapie. De même, il faudrait pouvoir mieux identifier les femmes à risque de rechute du cancer du sein, l’hormonothérapie restant capitale pour réduire le risque de rechute chez les femmes à haut risque. Suite à cette étude, il serait nécessaire de mieux identifier les femmes susceptibles de présenter des effets secondaires importants des hormones, pour mieux prendre en charge et accompagner ces femmes. Les programmes de cessation tabagique pour les mères de jeunes enfants n'ont pas non plus obtenu beaucoup de succès à long terme.10,21,22 Le peu d'efficacité de ces interventions et programmes laisse supposer que les nourrissons et les jeunes enfants des femmes concernées courent le risque de développer des affections liées à l'exposition à la FTS et que ces femmes risquent d'exposer leur fœtus à la cigarette lors de grossesses ultérieures.

Peu d'interventions ont visé plus particulièrement les fumeuses enceintes et les parents fumeurs dans le but de réduire l'exposition des jeunes enfants à la FTS. En général, le traitement des parents fumeurs est le même que celui des autres fumeurs, mais le cas des femmes enceintes appelle certaines considérations. Seuls des essais aléatoires contrôlés ont été inclus dans les méta-analyses visant à déterminer les meilleures pratiques pour amener l’arrêt du tabagisme chez les fumeuses enceintes et les fumeurs en général. Les brûlures urinaires chez la femme sont un motif fréquent de consultation chez le médecin. Un dosage sanguin d'hormone folliculo-stimulante ou FSH peut être prescrit chez la femme ou chez l'homme pour mettre en évidence d'éventuels troubles liés aux fonctions génitales. Dérèglement hormonal chez la femme : symptômes, que faire ? Le recours à une question structurée à choix multiples pour évaluer le tabagisme chez les femmes enceintes a permis d'augmenter la probabilité d’exactitude de leurs déclarations de 50 %.4 Les choix multiples progressifs d’une telle question permettent aux femmes de choisir le statut qui leur correspond le mieux, à savoir qu'elles « ne fument jamais », « ont récemment arrêté de fumer » (lorsqu’elles ont appris qu'elles étaient enceintes ou pendant qu'elles essayaient de devenir enceintes) ou « continuent à fumer » (en ayant diminué ou non leur consommation de tabac depuis qu'elles ont appris qu'elles étaient enceintes).

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